Détrôner le censeur

Amour, amour toujours. Voilà ce que j'ai lu sur un trottoir de Paris.
Quelle ville fleurie de mots. J'adore (Dior).

Les hordes de nuages ne sauraient faire tomber l'armée des ombres. Elle est maintenant aguerrie.
Les fourches et couperets des hommes prennent possession de leurs mains.
Ils avancent, avancent d'un bloc, vers le château lointain.

Mais pour détrôner qui ?
Un prince ?
Non, le censeur dans ta tête.
Celui-là même qui s'est fait détrôner pour écrire ces lignes en automatique.
C'est un drôle de feeling mais c'est vraiment amusant, grisant.
Je me surprends à faire des drôles de têtes en écrivant.