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Ta rampe des X-Games
Que dire à part le pire ?
Que tu es là sans le dire
Frémissent mes poils à tes souvenirs
Tu étais la plus belle de toutes
Mais je devais partir
Frissonnent l'alvéole de tes tétons
Quand je les embrassais
Ces bombes à eau comme on aimait à les appeler
Qui me prenaient de haut
Dans lesquelles je fourrais mon visage
Je slidais sur ta peau huilée naturellement
Jusqu'à ta rampe des X-Games
Où mon cerveau déboussolé faisait 1000 pirouettes
Tu me débranchais.
Ça, c'est sûr.
Mais paradoxalement, ça me connectait à mon vrai courant,
À une énergie infinie.
Tu étais la spectatrice infatigable de ma pièce de théâtre.
Qui demandait sans cesse un retour quand je faisais mine de quitter la scène.
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